Marre du travail supplémentaire des enfants, les associations de parents demandent une grève des devoirs à l'école

Si le dernier cours étaient les parents français, ce nouveau cours est Les parents espagnols sont appelés à la "grève des devoirs" de l'école. Oui, ceux qui ramènent les enfants tous les après-midi à la maison après leur journée d'école.

CEAPA, la Confédération espagnole des associations de parents d'élèves, a appelé à l'action ou plutôt à l'inaction au cours du mois de novembre. Les mères et les pères en ont assez du travail supplémentaire de leurs enfants et ont pris des mesures.

Près de la moitié des pères et des mères qui conduisent leurs enfants à l'école publique espagnole estiment que des devoirs en dehors des heures de classe ont un impact négatif sur la vie de la famille.

C’est pourquoi, du CEAPA, ils ont appelé les pères et les mères à manifester ouvertement ce malaise dans les centres de leurs enfants. demander aux enseignants de ne pas envoyer leurs devoirs aux enfants pendant le week-end du mois de novembre.

Il est évident que les enseignants peuvent refuser, le cas échéant, aux familles de remettre un document le lundi expliquant la raison pour laquelle leurs enfants vont en classe sans avoir fait leurs devoirs. professeur

Excédent «heures supplémentaires»

Le "heures supplémentaires" Le travail que les enfants espagnols doivent consacrer chaque jour à leurs devoirs ne semble pas être aussi bénéfique ni nécessaire aux yeux des organisations internationales qui se sont également prononcés contre eux au cours de ces semaines, mais qui envoient encore des tâches, chips, problèmes que les enfants ont à faire après l’école.

L’intention de CEAPA avec cette mesure est sensibiliser les enseignants et éliminer complètement les tâches et pas seulement les week-ends parce qu'ils limitent et conditionnent la vie familiale, parce qu'ils sont un élément qui affecte plus négativement les familles disposant de moins de ressources, parce qu'ils impliquent un effort excessif pour l'enfant et qu'il élimine le temps libre, les loisirs et le repos de l'enfant et même de la famille.

En novembre, les parents sont appelés à défendre le droit de leurs enfants de disposer de temps libre après l’école, de ne pas être attachés à la chaise pour faire leurs devoirs, de ne pas être condamnés à davantage de travail quand ils ont déjà fini sa "journée de travail" à l'école.